samedi 28 novembre 2009

Vers le Mexique. Épisode 1: Rétroduction

Saluts mes bons lecteurs!

Comment allez-vous cccommunauté virutuelle?
Ce soir, je change de stratégie. Je fonctionne autrement.
Rétroduction: néologisme créé par Régis en novembre 2010. Formé du latin "rétro", qui veut dire en arrière et du latin "ducere" qui veut dire conduire. Une rétroduction nous ramène donc vers un message antérieur. C'est le contraire de l'introduction qui nous amène vers un nouveau message.
Plusieurs s'en sont rendu compte. Mon message sur San Antonio comportait quelques ratés dans la mise en page, la mise en écriture, la mise en image et j'en passe.... Je le concède. J'ai trouvé fort ingénieuse l'expication de Jocelyn sur les blancs du texte et le silence de l'auteur mais...
Après coup, quand j'ai vu l'effet un peu désastreux de l'ensemble, j'ai trouvé une justification. L'aspect désordonné du texte pouvait renvoyer à l'anarchie du développement à San Antonio; sur les photos, on ne voyait presque personne comme dans le centre ville; les seuls personnages en gros plan: Louiselle et Régis, touristes rois du River Walk et photo prise par le gentil serbveur tex mex.
Mais la vérité est autre. D'abord, il est vrai que j'écrivais sous la pression de voir mon texte non enregistré et non publié, donc détruit. J'ai procédé vite. Mais, j'ai beaucoup de difficulté à placer les images de mes "reportages" aux endroits où j'aimerais les placer. Si quelqu'un de vous peut me faire parvenir des conseils à ce sujet, allez-y. Peut-être un cadeau au retour...
Ce soir, j'ai fractionné mon texte en 4 épisodes. C'est la solution que j'ai retenue. Plus de tetes moins longs.
Merci pour tous vos commentaires même si certains trouvent complexe l'inscription au blog. Je les comprends; j'aime mieux écrire le blog que m'y inscrire. Mais par ce moyen de communication et par Skype, nous avons finalement l'impression d'être plus près de nos près que lorsque nous sommes à la maison.
Les 4 derniers épisodes ont été écrits à Amado, un petit village situé à 40 kilomètres de Nogales et de la frontière mexicaine que nous traverserons lundi
Bonne fin de semaine.

Vers le Mexique. Épisode 2: Caverne Vivante

Communauté virtuelle!
Vous avez bien lu l'épisode 1 avant de lire les autres!
Je vous crois.

Nous avons quitté San Antonnio ce matin. Nous ne savons pas vraiment comment se dérouleront les prochains jours. La route est longue. Nogales est à plus de 1000 kilomètres. Vers midi. nous nous arrêtons à la caverne de Sonora.

Je le sais, j'ai l'air d'un Zombi sur la photo. Mais non, vous le savez bien, ce n'est pas mon air naturel. C'est seulement qu'il faisait très chaud et humide dans cette caverne encore vivante, c'est-à-dire que, à leur rythme très lent bien sûr, les formations calcaires évoluent... se modifient... Nous sommes descendus à 150 pieds sous terre visiter cette caverne pas très étendue mais qui compte plusieurs chambres.

Tout est délicat et sobre dans cet univers. On n'y retrouve pas les effets "dramatiques" ou "artistiques" de l'éclairage que l'on rencontre parfois dans ce type d'activité touristique. On peut reconnnaître des têtes de serpent, des papillons, des coquilles, des oeufs de toutes les grosseurs, des brins de paille à profusion. Les formations sont translucides; en anglais, ils utilisent le terme "crystal". Sur la photo à gauche, en bas, on distingue une petite piscine. Aucun annimal, même pas la plus mignonne chauve-souris.
Je me demande si au Trou de la Fée, à Desbiens , on ne devrait pas revoir le programme... le faire vieillir...
La caverne appartient à une famille privée.


Vers le Mexique. Épisode 3: Route fascinante




La 10, celle que l'on appelle comme ça, est absolument fascinante. On y a roulé entre 7oo ou 8oo kilomètres pendant le trajet qui va de San Antonio à Tucson. Peu de circulation, des services restreints mais suffisants, la très grande paix de ceux qui roulent. Presque seulement des camions. On a vraiment l'impression que rien ne bouge: ni le paysage, ni la voiture. Toujours au l;oin les mêmes montagnes, pâles, un peu dans la brume, et le désert, coupé de quelques touffes vertes, de chaque côté. Une dizaine de vaches, pas même de road runners. J'adore conduire sur cette route.
On s'arrête parfois. On est alors près d'une montagne de roches ssouvent en équilibre qui nous semble instable, presque au-dessus de la route; c'est si peu nos Laurentides. Ou alors on peut observer des petits jardins dans les aires de repos.

Vers le Mexique. Épisode 4: Joyeux Gaillards










Voici une photo de la forêt de Saguaros, maintenant clairsemés, prise au parc national de Tucson. le 27 novembre 2010.


Bonsoir jolie communauté virtuelle


Je sais bien que vous avez hâte de nous lire mais ce soir, je vous demande, belle communauté, d'être très disciplinée. Je publierai tout à l'heure les épisodes précédents.
Vous m'avez reconnu sur la photo du haut. Je suis le célèbre reporter de Radio-Canada, qui vous parlera ce soir de la tragique situation des Saguaros, ces cactus masculins en voie d'exstinction. C'est notre fidèle correspondante Louiselle qui pose ici devant un saguaro de lus de 200 ans.
Ce sont en effet les plus malheureux cactus du monde, trop piquants pour être aimés mais à la libido iinsatisable; ils sont en constante érection, allant jusqu'à exposer trois ou quattre pénis autour de leur tronc.. Les experts du Parc National des Saguaros attribuent le malheur de ces cactus aux rares pluies en Arizona, mais saturées de Viagra. Il semblerait aussi que les éleveurs de bétail du coin utilisent trop de Viagra pour fertiliser leur sol. Et ce sont les Saguaros qui écopent. On n'a pas encore trouvé de saguaros femelles.
Plus sérieusement, nous venons d'apprendre le décès de Gilles Carle. Je crois que sa contribution au cinéma québécois aurait dû lui assurer plus de reconnaissance de son vivant. Admiration aussi pour le travail de Chloé Ste-Marie. Nous avons réécouté, pendant le voyage, une très jolie chanson dont Carle a écrit les paroles: Lazy days.
Fin officielle du message dont je ne sais pas comment il sera mis en forme chez vous.












mercredi 25 novembre 2009

San Antonio, Texas

Saluts mes fidèles lecteurs et commentateurs!

La régularité de mon blog dépend de ce qu'on trouve comme accés à Internet dans les campings qu'on déniche. Venez voir quand vous y pensez. Et ne soyez pas inquiets des silences...
San Antonio! San Antonio! Tout au moins en son centre, c'est le Mexique au Texas. Avec Santa Fé et El Paso, c'est ici que les racines mexicaines de ce grand état sont les plus fortes.
Vous avez sûrement déjà vu ce blanc monument. Il est dédié aux quelque 180 braves colons américains qui se sont battus en 1836 contre le général Santa Ana, président du Mexique, et ses 5000 soldats. Évidemment, les moins nombreux se sont faits massacrer. Mais la bataille du Fort Alamo (voir autre photo) a marqué l'imaginaire américain. Le plus connu des héros de cette bataille s'appelle Davy Crocket.
Nous étions venus à San Antonio en 1993 et avions été fascinés par le centre ville de cette cité. Voyez l'image qui suit: la rivière San Antonio a été totalement domestiquée, réorientée, canalisée. On lui a ajouté des fontaines, des cascades, des petites chutes, des ilots; on lui a planté full plantes subtropicales. C'est un havre de paix, de calme, de silence. Ça pourrait faire sa Venise. Des trottoirs, des terrasses, des serveurs tex-mex et de la nourriture tex-mex. Ça s'appelle le River Walk.
Moi je pense qu'on a pas mal "dysnéisé" la rivière. Louiselle est moins sévère. Vous le verrez plus bas, on s'y est bien amusé quand même.

Et plus bas, le Fort Alamo. Il est tout juste juste à côté du monument aux braves. Le tout constitue une petite place d'armes, un socalo, comme dans les villes mexicaines. Il y a des bancs, de l'animation, des "preachers" noirs pas trop loin, maintenant un immense arbre de Noël, des boutiques de souvenirs. On pourrait y faire la fête constante.
Mais... mais... il y a 2 millions d'Américains à San Antonio. Qui sont-ils? Où vivent-ils? Où travaillent-ils? Où sont leurs voitures? On ne les voit pas, on ne les entend pas. Où sont les ados? Dans les parcs, beaucoup de sans-abris, surtout des hommes. C'est l'étage du haut. Les quelques gratte-ciel qui poussent à l'étage du très haut sont tellement disparates! au plan de la forme, des matériaux, de la couleur! Comment se développe donc cette cité? Les touristes se sont appropriés un River Walk aseptisé mais il manque la vie grouillante. Parfois, tard le soir, on entend des sirènes: policiers? ambulances? On avait aussi eu cette inmpression en 1993.

























Et puis c'est nous!
Sur le River Walk.
Je mange une soupe "black and white" et Louiselle un enchilada au poulet. Dans les 2 plats, des haricots noirs. Les bières sont des "Carta Blanca" brassées au Mexique. C'était délicieux.
Nous avons passé 2 jours à San Antonio, nous quitterons le Texas demain. Nous prévoyons entrer au Mexique lundi prochain.
La route I 10, qui traverse le Texas, est une des rares routes américaines qui nous fassent encore sentir la solitude des grands espaces. Dis, comment c'était, les routes américaines, au moment où Jack Kérouac a commencé... ses grands déplacements?


















































































































































































































Comme tout cela a l'air bon











La bière est une Carta Blanca, brassée au

samedi 21 novembre 2009

De nouveau sur la route





Saluts! chers, chers "hablo sombreroïens"!
C'est sûr que le gentilé n'est pas très marketing!...

Allô! Allô! gentille communauté virtuelle!

Surprise!
C'est bien nous qui vous écrivons!

Et NON! NON! NON! Les photos ne représentent pas la maquette du nouvel édifice municipal de St-Gédéon et il ne s'agit pas du Lac St-Jean. C'est plutôt le Centre d'accueil du State park Fontainebleau et une vue du lac Pontchartrin, en Louisianne, tout près de la Nouvelle Orléans. Car c'est bien là que nous sommes arrivés jeudi soir denrner.
Que je vous raconte donc rapidement!
Lundi et mardi, pendant que Motorisé se faisait retaper, nous avons exploré timidement la petite communauté virginienne de Stephens City. Mon point de vue est rapide: tout dans cette cité me semble républicain, au sens Grand Ole Party, GOP. Des travailleurs à la barbe du Doc Mailloux, des maisons décrépites, des livres à tendance pro-vie, par ailleurs des personnes âgées fort sympathiques et les pompiers du coin vendent pour $10.00 US leur calendrier de jolies jeunes filles très peu vêtues. Je retiens surtout un repas presque complet au restaurant pour $6.00 d'une cuisine GOP, sans doute familiale, ni moléculaire, ni culinaire. Dans mon assiette, comme plat principal, des carrés de jambon bouilis dans une mixture de chou, plus loin dans son enveloppe daluminium une patate obèse et sa cup de crème sûre, puis un mix d'épinards et de légumes verts ultra cuits qu'on m'a servi avec le pot de vinaigre. Le restaurant était plein.
Puis, mercredi matin à 8h.30, Motorisé est prêt à partir et nous aussi. Entre nous et lui, il y a eu une blessure, une petite cassure. Nous devons rétablir la confiance: 2 grandes journées de route (9 ou 10 heures).
Soleil, pas trop froid. On écoute de le musique. un peu de classique, un peu de québécois, Abba, Johnny Cash et des chansons en espagnol: versions de Brassens, Arielle Dombale (quelle voix: Amor, amor); on ne reculerait pas même devant Elmut Loti. Surtout un cours d'espagnol sur disque (Merci à mon ex-collègue et voisine de vacances Francine Bergeron).
Louiselle peut demander: "Por que no puede decirme que es la situation politica y economica del pais mexicano". (Es un secreto: creo que le no gusta mucho aprender una lengua...) mais elle fait son heure d'audition par jour de route et travaille vocabulaire et expressions quelques minutes tous les jours.
C'est ainsi que nous sommes rendus en Louisianne et partirons demain vers le Texas.
Merci à tous ceux et celles qui nous ont envoyé récemment des messages de réconfort ou qui ont commenté le blog. Vous êtes magnifiques. J'en suis même un peu gêné. Ce n'est que le début du blog. J'ai été prof de Cégep et je n'ai pas oublié l'insistance outrancière qu'on nous demandait d'accorder au premier cours. Dans certains cas, il n'y en avait que pour ce premer cours. Je ne veux pas tomber dans ce piège.
BIENVENUE A ANDRÉ ET LUCIE QUI SONT DE RETOUR DANS LEUR PAYS, LEUR VILLE, LEUR COIN.

mardi 17 novembre 2009

Pour qui j'écris? J'y arriverai peut-être...


Ça y est! Nous sommes partis samedi matin. Lunch chez Guy et Claire, au lac St-Charles. puis verre d'après-midi chez Charlotte et Gaston, à St-Émile. Puis souper avec Marie-Anne, Jocelyn, Aurélie et Kim.
Puis la route... du brouillard et de la pluie légère jusqu'à Montréal. Soleil timide mais température douce. Les douanes aux Mille Îles. Une belle promenade d'automne.
Mais... lundi midi... pépin... pépin... Sur le 81 Sud, sorie 307, de la fumée (Ah! non! Guy et Claire, pas encore un incendie!) s'échappe du moteur. Heureusement, la sortie donne dans la cour d'un garage. En une heure, notre home est remorqué, analysé. La transmission est sautée. Notre comptable Julie sera mise au courant des détails à ne pas dévoiler. Nous attendons dans un motel du petit village de Stephens City, en Virginie.
Ça fait partie du voyage au même titre que l'écriture de ce blog. Je me rappelle les fins de soirée de Casablanca, en 83-84-85, dans la calme de fin de jour, on a tant écrit. J'ai vraiment découvert, à ce moment, le plaisir du long monologue orienté (dans la mesure du possible) vers le récepteur. Le plaisir d'écrire, donc... À part la mésaventure de la mécanique automobile, voyage sans histoire... pour l'instant... si ce n'set cette fragilité avec laquelle j'ai vécu les dernières semaines.
Fragile, frêle, tendre, un peu froid, un peu inquiétant.
Fragilité de l'image. Vous avez sans doute remarqué que le texte (par ailleurs magnifique, qui l'a donc composé?) qui accompagne la photo de Chocolat ne convient pas à cette photo. Voici l'idée: photographier Chocolat qui se laisse caresser en ronronnant par Louiselle. Mais Choco est nerveux; il sait qu'on va le quitter; il a peur de l'aspirateur, la caméra EST un aspirateur. Choco se braque. Louiselle se brusque. La photo est ratée... une horreur artistique. Mais l'idée me semble encore bonne.
Mais bien d'autres fragilités. Celle de la mécanique démocratique: mon maire Drolet et le conseiller Gaudreault (de St-Gédéon, bien sûr) n'avaient rien soupçoné du soufflet électoral. Puis celle du tissu social: certains de mes amis ont perdu un emploi, certains de mes proches en cherchent un plus stable.
Fragilité du corps aussi. Mon joli ménisque interne gauche, fraîchement poli, me donne un peu de douleur et chaleur; Louiselle, même si elle est dans ses affaires, a bien du mal à "faire ses nuits". Fragilité du corps qui croît vite et beau puis d'une colonne qui s'écarte de la ligne droite (Allô Sophie!). Fragilité de la vie soumise ux aléas de la médication ou même des vaccins. Fragilité: le jardin de givre de Nelligan.
Nous sonmes en voyage mais nous ne pouvons nous abstraire de la vie de nos chers.
Coquin de Ronsrd:
"Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain,
Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie".
Mais pour qui donc est-ce que j'écris tout cela?
Pour tous les membres de Hablo sombrero, petite communauté virtuelle qui me lira sans doute, et tous les autres qui liront sans qu'on sache qu'ils nous lisent. Puis pour mes plus près, pour tous ceux que j'aime et aussi... pour moi.

samedi 14 novembre 2009

Titre fatigué

C'est samedi soir. J'ai beaucoup fait progresser mon travail d'écriture sur blog avec Jocelyn. Nous rentrons dans nos appartements motorisés dans quelques miutes . Notre blog est officiellement lancé même s'il peut encore se transformer. Très grosse journée de route en perspective pour demain et sans doute prochain message en provenance de la Louisianne dans quelques jours.

jeudi 12 novembre 2009

Pas très glamour... Pourquoi un blog?




Mais si! C'est glamour.... Vous connaissez Chocolat? Il a maintenant 7 ans et est encore follement épris de sa seule maîtresse. Voyez comme il la protège dans son sommeil, comme il semble heureux dans ses bras. L'entendez-vous ronronner? C'est presque un défi à mon endroit. Il ronronne lui.. il ne ronfle pas...
Chocolat a grandi avec tous nos petits-enfants. Il les aime tous.
Pendant notre escapade mexicaine, Choco s'en va vivre à Alma, chez sa tante Jocelyne.









Mais pourquoi ce blog?

C'est sûr que c'est pour imiter mes amis Lucien, André, Jean, Mado et Roger. Ils ont tous réussi cette production. Pourquoi pas moi?... J'étais pourtant conseiller municipal...

Creusons... Creusons... en prof de littérature de cégep... Pour raviver des sensations, pour faire partager les nouvelles expériences, pour transmetter des données touristiques, pour informer, pour décrire les somptueux paysages, pour présenter les typiques locaux, pour.... Un peu tout cela... Et encore...


Mais que faîtes-vous du plaisir? (Imaginez les intonations de Clémence Desrochers) ...du plaisir d'écrire qui permet de recréer et de prolonger le vécu? du plaisir de jouer avec les mots, les idées, les sonorités? du plaisir de montrer qu'on a du plaisir à parcourir de nouveaux espaces? à goûter de nouvelles saveurs? à communiquer autrement?

Je n'arriverai sûrement pas à tout faire partager... sinon mon plaisir de vous raconter.

Avec une photo au moins par message. André, je sens que je vais avoir trop de difficultés avec les vidéos.

mercredi 11 novembre 2009













1967. Charlebois chante: "Demain l'hiver! Je m'en fous, je m'en vais dans le Sud au soleil..."


C'est un peu ce qu'on va faire Louiselle et moi. Mais non! On ne va pas vous laisser tout seuls dans le froid et le vent glacial.


On vous laisse un dimanche matin d'automne à La Baie. On vous laisse l'éclair des geais bleus qui traversent la forêt et leurs cris affolés; le tapis orange brûlé des aiguilles de mélèzes, l'odeur sucrée et humide des sentiers d'automne et tant de beaux soleils couchants. Ça va bien sûr nous flanquer un peu
de nostalgie.


Hablo sombrero. C'est le titre du blog. Cela veut dire, littéralement : " Je parle le sombrero".


Parce que je suis très fier de pouvoir un poco hablar, leer, escribir, comprender, dans la langue de Garcia Marquez. Parce que l'espgnol, c'est ausi toute l'Amérique. Parce qu'il y eut Luis Mariano et "Mexico! Mexiiiiiiico!" Et parce qu'il y eut Marcel Amont et "Un Mexicain basanéééééé est allongé sur le sooooooool, son sombrero sur le neééééééééz en guise en guise en guiiiiiiiiiiise de parasoool".